Tarbes. Une soirée au pays des merveilles

Romain Gouloumès, Maï Flament et Nicolas Mourleau promettent une soirée merveilleuse. Vu l’affiche, on les croit !/Photo Florian Albessard.

La tradition, à l’Enit, c’est sacré. Et le gala annuel fait partie des traditions de l’école d’ingénieurs. « Mieux que ça, le gala fait partie de notre formation, assure Maï Flament, présidente de la 53e promotion, en charge d’organiser l’édition 2019, en réalité, ça fonctionne comme une petite entreprise de 100 personnes, et on gère un budget de 200.000 €, entre la location du Parc des expositions pendant deux semaines, l’achat de 3.000 bouteilles de champagne, le repas de promo où les parents des futurs diplômés sont invités. Et encore, on ne compte pas les heures pour le montage, pendant quinze jours, ça va être jour et nuit ! » C’est que le gala réunit chaque année plus de 3.500 personnes, mais pas seulement, puisque c’est ouvert à tout le monde. Et si l’on s’y presse, c’est que la soirée est toujours « magique ».

Après l’Olympe et l’Odyssée des fonds marins lors de deux dernières éditions, la 53e promo vous emmène carrément dans le monde féerique d’Alice au pays des merveilles. « Le décor sera à la hauteur, il y aura trois salles et trois ambiances : le royaume des reines, l’heure du thé et la forêt. » Mais, fidèles à la tradition, afin de préserver la surprise, ils n’en diront pas davantage. Si ce n’est que l’accueil sera assuré par un lapin géant… « Mais nous avons prévu beaucoup d’autres surprises, notamment au niveau des animations. » Patience donc, il faudra attendre le samedi 7 décembre (à partir de 22 heures) pour découvrir le somptueux décor. La soirée sera animée par le groupe ADN et les DJ’s Tasty Cool et Graviity.

Les places (25 €, 15 € pour les étudiants) sont en vente, sur le campus, à l’office de tourisme et sur le site gala.enit.fr À noter, une partie des bénéfices ira à l’association Ensema.

C. V.

Source : La Dépêche

L’Ensema en quête de bénévoles et de finances

L’Ensema en quête de bénévoles et de finances

Créé en 1987 par Romain Cabaup, l’enseignement aux enfants malades rencontre de sérieux problèmes en moyens humains et financiers. Combien de temps durera l’Ensema ?

La mission principale de l’Ensema, créé en 1987 par Romain Cabaup, est de porter soutien scolaire aux enfants malades ou accidentés contraints de rester à domicile ou en milieu hospitalier. Pour rester connectés aux cycles scolaires, ce sont des bénévoles qui viennent jusqu’à ces enfants pour prodiguer des cours allant de l’école primaire au BTS. Cet encadrement personnalisé existe depuis 32 ans et les enseignants peuvent même être plusieurs, selon les matières enseignées, auprès d’un même jeune malade. « Pouvaient être plusieurs », rectifie le président Romain Cabaup, car le nombre de bénévoles enseignants fond comme neige au soleil et fait tanguer la pérennité de l’Enssema. « Nous sommes allés jusqu’à 100 intervenants. Aujourd’hui, nous ne sommes qu’un petit 40 et nous suivons 44 jeunes Haut-Pyrénéens, essentiellement des collégiens », poursuit-il avec inquiétude.

Pourquoi une telle fonte ?

« Comme dans toutes les associations, le bénévolat s’effondre. Les profs qui nous quittent atteignent un âge avancé et espèrent être remplacés par de jeunes retraités, ce qui ne se produit pas ou si rarement. » Le manque d’information des parents des nouveaux jeunes malades peut aussi être la cause de la désaffection des professeurs. Pourtant, outre au domicile des jeunes gens, les profs se rendent aussi à l’hôpital de Tarbes et à l’unité « ados » de l’hôpital de Lannemezan. « Nous avons un projet de partenariat avec la maison départementale diététique et thermale des enfants à Capvern-les-Bains. »

Un problème financier

L’autre problème est financier. Le contrat « emploi aidé » de la jeune Annabel, au poste de secrétaire coordinatrice, arrive à son terme. Pour le bon fonctionnement de l’association, « nous devrions embaucher un remplaçant. Mais comment allons-nous payer ce salaire sans aides ? » s’interroge le président. Toutes ces questions ont été débattues au cours de l’assemblée générale annuelle, mais les réponses sont restées en suspens. « Les réserves de trésorerie vont nous faciliter l’année 2020 mais si nous ne trouvons pas de solutions financières au-delà, nous serons obligés de fermer. » Si l’Ensema se prépare à des jours sombres, quel sera l’avenir des enfants privés d’autres biais d’enseignement ? Car nous n’en avons pas conscience mais certains sont cloués soit sur un lit soit dans un fauteuil. Pour eux, ce serait une peine de plus.

Francine Depeyre

Source : La Dépêche

Opération Bandanas : 2 500 € pour l’association ENSEMA 65

L’opération bandanas, dans le cadre des fêtes de Tarbes, organisée au profit de l’association ENSEMA 65 a rapporté la somme de 2 500 €. Le chèque a été remis ce lundi à l’office de tourisme en présence du maire de Tarbes, du représentant de l’association et des personnes engagées pour cette l’opération.

Pour rappel, l’association ENSEMA 65 avait été choisie par l’équipe de Tarbes Animations, organisatrice des fêtes de Tarbes, pour l’opération bandanas 2019. Les étudiants en 1ère année Tech de CO de l’IUT de Tarbes ont largement contribué au succès de cette opération. Le Rotary Club de Tarbes était également associé à cette opération (pour un bandana vendu, 50 cts étaient reversés à l’association ENSEMA 65).

Ainsi, 5 000 bandanas ont été vendus durant les quatre jours de fête, ce qui a permis de récolter 2 500€ pour ENSEMA 65, association qui vient en aide aux enfants malades.

Le représentant de l’association a remercié toutes les personnes qui ont assuré la vente des bandanas. Il a rappelé que cela faisait 32 ans que ENSEMA intervient auprès des enfants malades et que la mairie de Tarbes avait été la première structure à les aider depuis le départ, ce qui fait un long partenariat. A ce jour, 45 jeunes sont suivis à leur domicile par l’association.

Frédéric Montessuy, président de Tarbes Animations, a remercié les étudiants de l’IUT, les bénévoles mais aussi le colonel de Crevoisier, à l’époque chef de corps du 35 ème RAP qui avait ouvert les portes du quartier Soult à quelques petits malades afin de passer une après midi au sein du régiment , pouvoir rencontrer les militaires et visiter les locaux. Ils étaient pour l’occasion repartis avec des cadeaux.

Michel Garnier, directeur de l’office de tourisme, a indiqué que les fêtes de Tarbes 2020 étaient en préparation et qu’une autre association serait choisie pour l’opération bandanas.

Gérard Trémège, maire de Tarbes, a remercié les représentants du Rotary qui était associé à cette opération. Il a eu une pensée profonde pour un grand rotarien et ami qui vient de partir, Gérard Coutausse.

Nicole Lafourcade

Source : Tarbes Infos

2 500 € POUR L’ENSEMA GRÂCE AUX BANDANAS !

Romain Cabaup reçoit le chèque des mains du maire de Tarbes

Signe de fête, le Bandana est présent depuis plusieurs années lors des Fêtes de Tarbes au mois de juin et cette année, les ventes ont atteint le chiffre record de 5 000 pièces ! Il faut dire que le partenariat entre la ville, l’Office de Tourisme, le Rotary Club est d’une efficacité remarquable. Ce lundi, l’association Ensema* qui aide à l’enseignement aux enfants malades à domicile ou à l’hôpital recevait des mains du maire Gérard Trémège le chèque correspondant aux ventes (0,50 € par Bandana acheté). D’un montant de 2 500 €, il sera le bienvenue pour cette association présidée par Romain Cabaup qui, grâce à des enseignants bénévoles, soutient les jeunes malades pendant leur séjour en milieu hospitalier ou à domicile. «Je remercie les bénévoles ainsi que le personnel de l’Office de Tourisme et les membres du Rotary. Cette chaîne humaine permet d’aider des associations qui œuvrent souvent dans l’ombre au mieux être de notre société.» Gérard Trémège.

«Notre association a 32 ans. Elle fait beaucoup de bien aux jeunes malades. Ce chèque va nous aider à poursuivre notre combat car par moment, nous doutons car les besoins sont constants et les moyens difficiles à trouver.» Romain Cabaup.

«Je remercie Philippe Formosa, de la mairie de Tarbes, pour l’après-midi que les enfants malades ont passé au 35ème RAP et le colonel Lecourvoisier pour les dons de bérets et treillis offerts aux enfants.» Frédéric Montessuy, président de Tarbes Animations.

*Ensema : Enseignement aux Enfants Malades

CB65

Source : Le Petit Journal

Rencontre avec les enfants malades et les militaires du 35ème RAP

Dans le cadre des Fêtes de Tarbes et de l’Opération Bandanas menée par Tarbes Animations au profit de l’Association ENSEMA, une rencontre entre enfants malades et militaires du 35ème RAP a eu lieu ce jeudi 20 juin au Régiment.

Sous l’impulsion de Frédéric Montessuy, une dizaine d’enfants atteint de pathologies variées ont été accueillis par le chef de corps Thibaud de Crevoisier et les militaires au sein du régiment du 35ème RAP.

Après avoir visionné un petit film sur les activités des militaires, le chef de corps leur à raconté l’histoire du 35 depuis sa création à aujourd’hui. Les enfants ont visité la caserne et ont pu prendre les commandes de certains engins le temps de quelques minutes, l’occasion aussi pour eux d’échanger avec les militaires. A la fin de la visite, ces enfants étaient émerveillés d’autant plus qu’ils sont repartis avec quelques cadeaux et des souvenirs plein la tête.

Nicole Lafourcade

Sources : Tarbes-Info.com


Faire venir l’école aux enfants malades des Hautes-Pyrénées

Dans les Hautes-Pyrénées, l’Association pour l’enseignement aux enfants malades (ENSEMA) vient en aide aux enfants du CP au BTS pour leur assurer un suivi scolaire malgré la maladie.

Inspirée par la Fédération pour l’Enseignement des malades à domicile et à l’hôpital (FEMDH), l’Association pour l’enseignement aux enfants malades (ENSEMA) assure dans tout le département des Hautes-Pyrénées une scolarité aux élèves atteints de maladie psychologique ou physique. Les enseignants bénévoles se rendent au domicile, à l’hôpital ou au foyer de l’enfant et s’adaptent à son rythme pour continuer le travail déjà commencé à l’école auparavant.

Adeline Delezay, vice-présidente de l’association ENSEMA, et professeure agrégée de lettres modernes à la retraite assure l’enseignement du français et la préparation au baccalauréat des élèves déscolarisés du lycée. « J’ai toujours aimé les cas plus difficiles. Ces enfants malades ont malgré tout une telle volonté d’apprendre ! »

Du CP au BTS, les bénévoles assurent tous les niveaux et sont libres de choisir de travailler avec des enfants, des adolescents ou des lycéens. « Tout adulte qui a fait des études longues, au moins cinq ans, peut devenir un professeur. Ainsi un médecin à la retraite a parfaitement enseigné la biologie aux lycéens, et un ingénieur expliquera d’une façon différente l’enjeu des mathématiques et de la physique. » Si une vraie souplesse est exigée de la part de l’enseignant, qui peut se retrouver à faire cours dans le jardin du foyer si l’enfant ne parvient pas à se concentrer et a besoin d’apprendre en marchant, il reste néanmoins libre de refuser certains cours. «Certains collègues ne préfèrent par exemple pas, pour des raisons personnelles, enseigner à des enfants atteints d’un cancer. Il arrive aussi, tout simplement, qu’ils n’aient pas les compétences académiques recherchées. C’est le cas par exemple dans le domaine juridique : nous n’avons pas d’intervenant connaisseur en la matière. »

« On peut croire que les cours sont pesants, mais en réalité ils sont très gais. C’est l’occasion pour l’enfant de sortir du cadre des soins. Avec les cours, on peut mettre le monde à leurs pieds, en sortant du protocole médical strict », s’enthousiasme Adeline Delezay. Après avoir enseigné de longues années dans des lycées publics, elle se réjouit de pouvoir construire dans la durée un projet qui « n’est pas caritatif, mais d’intérêt général ». Des associations similaires sont présentes dans une soixantaine de départements, mais un tiers des départements français ne sont pas encore couverts. « Le défi actuel est que la restriction du nombre de postes d’enseignants est un problème pour ces enfants malades, qui peinent de plus en plus à accéder à une forme de soutien scolaire. » La professeure de français travaille donc à la recherche de subventions pour faire grandir l’association, et ainsi subvenir à tous les besoins du département.

« Pour moi, ces enfants sont des héros de la mythologie. Je suis émerveillée devant leur résistance face à la maladie et leur capacité de rebond après les difficultés qu’ils ont rencontrées. Tout est à construire, c’est passionnant », confie encore Adeline Delezay avec passion.

Sources : La vie

Fêtes de Tarbes : les bandanas sont en vente

Les fêtes de Tarbes annoncées du 20 au 23 juin arrivent à grands pas. Cette année encore, les bandanas rouge et jaune (couleurs de la ville) seront le signe de ralliement des festayres. Ils seront en vente, dès le 15 juin, au kiosque place Jean-Jaurès, face à la mairie, tenu par les bénévoles de Tarbes Animations, présidé par Frédéric Montessuy. Pour 2 € seulement, vous serez équipé. De cette somme, modique, gardez bien en mémoire que 50 centimes seront reversés à l’association Ensema (Enseignement aux enfants malades), association qui permet aux élèves, dont la scolarité est interrompue à la suite d’un accident ou d’une maladie, de poursuivre leurs études. Cette association est soutenue par le club services du Rotary Tarbes, représenté par son futur président, Cédric Houssiaux, qui voit dans cette action une aide pour une belle cause, celle de porter aide aux enfants malades, ainsi que par les élèves de 1re année Tech de co de l’IUT de Tarbes.

Pour cette animation, tous les commerçants de la halle et du quartier Brauhauban, adhérents de Tellement Tarbes, préparent cette belle manifestation. Voici le calendrier des actions de vente des bandanas, tenu par les équipes de Tarbes Animations, Rotary Tarbes et les étudiants de l’IUT : les samedis 8 et 15 juin, sous la halle Brauhauban ; le jeudi 13, le matin, au marché Marcadieu et le soir, place de Verdun lors du concert de Ni vu, ni connu.

Ces fêtes seront placées sous le parrainage de Cécile de Ménibus.

Francine Depeyre

Sources : La Depèche

Solidarité, Oursebellile Association

 » Prendre un enfant par la main…pour l’emmener vers demain « C’est ce que font les bénévoles de l’Ensema (Enseignement aux malades) depuis plus de trente ans.
En permettant à des enfants de continuer leur scolarité, ces enseignants (actifs ou retraités) donnent de leurs temps tout au long de l’année.
à Oursebellile, c’est l’initiative de la dynamique Fernande Casagnet, qui fait partie de l’association, qu’un après-midi en musique et chansons a rassemblé Chanteurs de Bordères, Airs y sont,Rampe ossunoise, Baladours et jeunes musiciens du village.
Le public a apprécié, qui a repris en choeur ces refrains intemporels, dégusté les crêpes, acheté les objets divers créés et vendus pour l’occasion.
La somme récoltée servira à l’Ensema à réaliser le rève d’un enfant malade.
Le président de l’association, Romain Cabaup, a chaleureusement remercié acteurs et spectateurs de ce « chouette moment »!

Isabelle Sanchez.

Sources : La dépèche.

L’Ensema a besoin de vous

L’Ensema (Enseignement aux enfants malades) est une association qui, depuis 1987, permet aux élèves dont la scolarité est interrompue à la suite d’un accident ou d’une maladie de poursuivre leurs études (1). Dans notre département, une quarantaine d’intervenants bénévoles (professeurs en activité, en retraite, étudiants…) consacrent quelques heures de leur temps à une cinquantaine d’élèves, du CP au BTS. Ils se rendent là où l’enfant ou le jeune se trouve, quelle que soit sa pathologie : à son domicile, à l’hôpital, lieu de convalescence, de rééducation…

À la permanence de l’association, 2, rue de l’Ayguerote à Tarbes, Anabelle Gensac, la secrétaire coordinatrice, actuellement en contrat aidé, met en lien enseignants bénévoles et élèves, tenant compte des matières, des distances, de la fréquence des cours, le tout avec l’agrément de l’éducation nationale et en lien avec l’établissement scolaire, les familles, les médecins…

Ce temps passé avec les intervenants aide à guérir car il permet de parler d’autre chose, d’échanger, et il est aussi gratifiant d’un côté que de l’autre. «On peut être utile à moment donné», «Ce n’est pas contraignant», «C’est un autre rapport que celui établi en classe» : les intervenants, qui adhèrent à l’Ensema moyennant 10 € l’année, n’en retirent que du positif.

Mais pour pouvoir répondre efficacement à la demande, il faudrait qu’ils soient plus nombreux, pour tous les niveaux, dans toutes les matières et sur tout le département.

Si des partenaires aident les actions de l’Ensema, dont certaines mairies, des événements (conférences) sont parfois organisés et le samedi 25 mai, à 14 h 30, salle polyvalente d’Oursbelille, c’est un concert de chorales qui réunira Les Airs y sont (enfants de Bordères-sur-l’échez), Les Baladours (Oursbelille), les Chanteurs de Bordères, La Rampe ossunoise et l’école de musique d’Oursbelille. Buvette, crêpes, gâteaux, vente d’objets fabriqués pour l’occasion (le lendemain, c’est la fête des Mères !). Participation libre (fonds reversés à l’Ensema pour permettre de financer le rêve d’un enfant malade, les dons étant déductibles des impôts). Venez nombreux.

Isabelle Sanchez

Sources : La Depèche

CONFÉRENCE

L’association « Ensema* » organisait une conférence à la Bourse du Travail mercredi 10 avril sur le thème des neurosciences à l’école : Qu’est-ce qu’apprendre ? Comment apprend-on ? Marine Campedel, enseignante chercheuse en neurosciences éducatives a longuement disséqué les processus qui régissent notre cerveau. Une intervention de haut niveau qui a conquis l’assistance.  Marine Campedel a démonté de nombreux neuromythes. « Tout se joue avant 3 ans », « il est possible d’apprendre en dormant » sont autant de croyances erronées que les avancées scientifiques dans l’étude du fonctionnement du cerveau ont permis de démentir. Les conclusions actuelles des scientifiques sont optimistes puisqu’il est établi par exemple, qu’il est possible d’apprendre tout au long de la vie (la plasticité cérébrale) et que rien n’est joué à la naissance en termes d’apprentissage ! Les pressions environnementales sont la clé de cette plasticité : plus on apprend, plus on peut apprendre.

*Ensema : Enseignement aux Enfants Malades. 2 rue de l’Ayguerote à Tarbes. 05 62 34 23 83.

CB65

Sources : Le petit Journal